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  Culture


            

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 Ecole du Patrimoine Africain EPA

" Un patrimoine pour mieux se connaître et mieux se faire comprendre "

L'EPA, basée à Porto-Novo, Bénin, est un établissement universitaire de 2ème cycle à vocation internationale, spécialisé dans la conservation et la médiation du patrimoine culturel tangible et intangible. Elle propose à 26 pays d'Afrique subsaharienne francophone, de former des professionnels de la conservation et de la mise en valeur du patrimoine culturel.
Depuis sa création en 1998, l'EPA a formé plus de 600 professionnels du patrimoine africain, monté 3 expositions, organisé une conférence internationale, publié 25 rapports, une chronique, un guide touristique et 8 sites Internet, réalisé 4 enquêtes.
Elle dispose d'une autonomie financière et reçoit des financements de divers bailleurs.
EPA - Ecole du Patrimoine Africain
01 BP 2205, Porto-Novo - Bénin
tél.: (229) 20 21 48 38
fax.: (229) 20 21 21 09
mél.: epa@epa-prema.net 
 


 

 


Le portail culturel Artbenin, conçu et mis en ligne dans le cadre de la coopération entre la République du Bénin et la Commission Européenne, vient conforter les nombreuses initiatives prises par le gouvernement dans le secteur pour la valorisation de l’identité culturelle, la promotion de la créativité et la participation des populations à la vie culturelle.

Ce portail culturel du Bénin a l’ambition de devenir à la fois et très rapidement :
- une vitrine où on pourra connaître et admirer les témoignages des richesses culturelles séculaires dont les différentes contrées du pays sont dépositaires ;
- un espace où, dans une totale harmonie, les acteurs culturels béninois apportent leurs partitions pour un dialogue fécond et créateur entre eux-mêmes et avec d’autres acteurs du monde, pour tisser des réseaux de coopération fertiles et durables ;
- un instrument de promotion de la créativité artistique au service des artistes et acteurs béninois pour étaler et « vendre » la richesse de leurs productions qui sont déjà pour la plupart, compétitives, novatrices et bien diversifiées.

Il est clair que l’interaction entre culture, développement et changement social, peut créer les conditions d’un Bénin florissant en paix avec lui-même.

C’est pourquoi, aucun effort ne sera de trop pour le développement de ce secteur, car investir dans la culture, c’est investir en faveur de la tolérance, de la diversité, de la créativité et de l’imagination.

Tous les opérateurs économiques, les partenaires au développement et, bien entendu, les artistes et acteurs culturels sont invités à s’approprier et soutenir cet outil important d’accompagnement, de pérennisation et de visibilité de la culture béninoise.
 

A la rencontre de la chanteuse Dossi : « J’ai proposé des messages très sensibilisateurs sur mon nouvel album »
(Le Matinal 06/10/2009)


La star montante de la musique béninoise Dossi, de son vrai nomn Edwige Dossi Gbeffe, enrichira prochainement les discothèques d’une nouvelle production.

Après « Remerciements » en 2006, la princesse du Noudjihou revient avec un autre chef d’oeuvre certainement pour gagner les cœurs de ses mélomanes. « Agô’oo », c’est le titre de son 2ème album composé de 8 titres très époustouflants, qui lui donne véritablement la place qui est la sienne dans l’univers de la musique au Bénin. Dans cette interview qu’elle nous a accordée, elle revient un peu sur ses débuts et sur cette flamme inextinguible qu’elle porte en elle : la musique.

Le Matinal : Vous êtes une jeune artiste que la scène musicale nationale a accueillie récemment. Parlez- nous de vos débuts dans la pratique de l’art que vous avez choisi et de vos réelles motivations.

Je suis la benjamine d’une famille de six (06) enfants. J’ai connu une enfance heureuse qui m’a permis très tôt de m’essayer à la musique. J’ai vécu auprès de ma grande-mère à Natitingou. Je fredonnais déjà à six (06) ans, quelques morceaux de tristesse. Ma grand’mère m’a enseignée son répertoire composé de chansons exécutées dans la langue Baatonou. En classe de 6ème, j’ai fait ma première apparition à l’écran aux côtés de Joli Cœur. J’ai également évolué avec deux membres du groupe Teriba au collège Sègbèya à Cotonou. Mais comme j’avais d’autres ambitions, je me suis retirée pour sortir le single « Enon wadjo » en 2006. Mon engagement dans la musique s’explique surtout par ma volonté de soutenir mes compatriotes en difficultés. Présentez-nous votre premier album qui a révélé les talents d’artiste que vous cachiez.

J’ai eu la chance de rencontrer Wilson Zossou qui était un animateur-télé. C’est lui qui m’a permis de rentrer en studio chez Guru Record. Celui-ci m’a aidé à produire mon premier album intitulé « Remerciements » qui est lancé en juin 2007. Il comprend les titres tels que « Todéma », « Enon wadjo », « Sokèmi », « Révélations d’amour », « Lomi lomi », et « Nin Kinansi ». Ce sont des morceaux qui traitent de thèmes variés. J’ai parlé en effet du courage, du pardon des difficultés quotidiennes de la vie et surtout de l’amour que j’ai beaucoup souligné dans « Nin Kinansi » qui signifie en Baatonou, « Mon désiré ». En réalité, j’ai composé cette chanson pour sensibiliser également la société sur le phénomène de mariage forcé. Je veux que la jeune fille choisisse son homme. Je me suis essayée aux rythmes Tèkè, Soyoyo et Noudjihou sur cet album qui est une production qui promeut l’union nationale.

Vous faites du « Noudjihou », la nouvelle danse en vogue aujourd’hui. Comment appréciez-vous l’accueil que lui ont réservé les mélomanes ?

C’est un rythme qui est une création de jeunes artistes et qui fait son bonhomme de chemin. J’ai remarqué que le public a aimé cette danse surtout avec les messages qui l’accompagnent. C’est une bonne expérience que Willy Mignon, Valérie Mignon, le groupe Sunvi, d’autres artistes et moi pratiquons. A ce sujet, je peux affirmer que je travaille dans un climat acceptable avec Willy Mignon que j’ai rencontré chez Guru record. C’est un arrangeur qui comprend bien les artistes et accepte parfois leurs desiderata. Ce que je déplore dans le monde du show biz, c’est le manque de solidarité qui se remarque chez les artistes. Le concept « Noudjihou » devrait normalement être soutenu. Nous devrions œuvrer pour en faire une danse internationale comme le font souvent les ivoiriens. Malheureusement, au Bénin, chaque artiste veut imposer son choix musical. Et c’est vraiment dommage.

3 ans après la sortie de l’album « Remerciements », le public attend impatiemment votre retour sur la scène musicale. Quelles sont vos occupations actuellement ?

J’ai consacré tout ce temps à la réalisation de mon second album. Aujourd’hui, je m’apprête à le mettre sur le marché discographique. Dans cette nouvelle production, j’ai réalisé des duos avec Vi-phint, Zenab et un artiste ivoirien. J’ai voulu donné une couleur africaine à cet album baptisé « Agô’ooo » en allant au-delà des frontières nationales. « Agô’ooo », en Fon,une langue parlée au sud du Bénin, est un « cri de guerre » que donne quelqu’un pour obliger ses concurrents à lui faire place. J’ai proposé ce nom pour annoncer mon retour époustouflant sur la scène musicale. Les mélomanes découvriront des titres comme « Bic de Dieu » et « Locataire de mari » qui portent des messages assez riches et très sensibilisateurs.

Quel bilan pouvez-vous faire de cette carrière que vous avez entamée ?

Oh ! Le succès fulgurant qu’a connu mon premier album m’a fait oublier les difficultés que j’ai endurées pour être au niveau où je suis actuellement. Aujourd’hui, je compte à mon actif plusieurs concerts-live qui ont vraiment marqué cette belle expérience que je vis. Je peux citer entre autres, le concert du 1er août 2008, les animations du 15 août dernier à Savalou, les évènements culturels organisés par les Béninois vivant au Burkina Faso le 1er août 2009 que j’ai animés avec Petit Miguelito. Actuellement, je fais une tournée avec l’artiste Vi-Phint à travers tout le Bénin. Globalement, c’est un bilan satisfaisant que je fais même si je dois relever des incompréhensions avec certains producteurs ou d’autres acteurs qui devraient participer à la promotion de mon œuvre.

Propos recueillis par Allégresse Sassé et Christophe Yagbannon (Stag)


 


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